Durant cette année plus que jamais, beaucoup ont réalisé l'importance d'un PC performant et mobile pour travailler de n'importe où sans compromis.
Depuis quelques mois déjà, la tendance est au télétravail. Lorsque l’on doit régulièrement partager, mettre à jour et coéditer des fichiers, travailler de chez soi implique que l’on puisse se reposer sur des solutions flexibles, fiables, adaptées aux configurations actuelles des ordinateurs qui, malgré des performances toujours plus impressionnantes, ne tiennent pas toujours compte des besoins réels de leurs utilisateurs. Néanmoins, aux évolutions matérielles succèdent souvent les évolutions logicielles adéquates.
Des disques plus puissants…
Il est loin le temps durant lequel il fallait attendre de (trop) longues minutes avant que le PC ne daigne démarrer. Depuis la fin des années 2000, les disques durs mécaniques (HDD) laissent progressivement place aux SSD (solid-state drive), aussi bien en entreprise qu’à la maison. Et pour cause, les qualités du SSD sont nombreuses, à commencer par sa rapidité en lecture comme en écriture.
En 2007, déjà, les tests menés de front sur un SSD Sandisk (32 Go ; 1,8 pouce) et un disque dur Toshiba (60 Go ; 1,8 pouce) déclaraient le lecteur flash comme très prometteur malgré quelques petites surprises dans les résultats : temps de démarrage de l’OS (SSD : 32 s vs HDD : 47 s), lecture (SSD : 47,7 Mo/s vs HDD : 16,8 Mo/s), écriture (SSD : 19,29 Mo/s vs HDD 19,99 Mo/s), copie de fichiers (SSD : 64 s vs HDD : 45 s).
Aujourd’hui, ces performances ont très largement évolué – on peut raisonnablement espérer un débit théorique de 500 Mo/s –, et ce qui n’était jusqu’ici réservé qu’aux data centers et entreprises s’invite de plus en plus sur les ordinateurs des particuliers à moindre coût. Pour rappel, le prix moyen du Go est passé de 30 euros en 2007 à une dizaine de centimes en 2020.
Outre sa rapidité, le SSD compte d’autres avantages qui lui permettent de supplanter le disque dur mécanique, à commencer par sa structure qui, contrairement au HDD, ne repose pas sur des composants mobiles. Par conséquent, il se montre beaucoup plus fiable et résistant aux chocs. Enfin, son format réduit en fait un module compact et léger, idéal pour les ordinateurs portables et autres tablettes.
Mais le SSD peine à s’affranchir de trois inconvénients que le HDD ne connaît plus depuis longtemps : sa capacité de stockage restreinte, son endurance (durée de vie) et son prix. Au regard de ces informations, et dans le cadre d’usages personnels, combiner les deux types de disques est une solution astucieuse pour qui acquiert un nouveau PC. Dans la plupart des cas, le SSD accueille le système d’exploitation tandis que le HDD stocke les logiciels, applications, fichiers enregistrés, etc. Dans certaines situations, à condition de privilégier la vitesse à l’endurance, il peut également apparaître comme judicieux d’installer sur le SSD les programmes nécessitant des accès nombreux et récurrents au disque dur (logiciels de montage, de traitement photo, etc.).
… et des processeurs toujours plus performants…
Autre composant au cœur des évolutions tech : le processeur. Indispensable au fonctionnement du PC, il s’apparente au cerveau de la machine. C’est lui qui interprète les données transmises à la carte mère par les différents composants de l’ordinateur (écrans, clavier, souris, disques durs, SSD, etc.) et permet à l’ensemble de fonctionner et répondre correctement. À titre d’exemple, lorsque vous tapez sur votre clavier, un signal électrique est transmis à la carte mère qui le fait suivre au processeur. Le processeur traite ce signal qu’il renvoie ensuite au GPU (parfois directement intégré au processeur) dans le but d’afficher à l’écran ce que vous avez initialement saisi au clavier. Sans processeur, pas d’ordinateur.
Deux paramètres témoignent de la puissance du processeur : la fréquence et le nombre de cœurs. La fréquence (GHz) détermine la vitesse à laquelle sont effectués les calculs qui permettent au processeur d’interpréter les signaux et d’exécuter les instructions. Plus la fréquence est élevée, plus les calculs sont rapides. En 1971, l’Intel 4004, premier processeur intégrant de la RAM et de la DRAM (également appelé microprocesseur) tournait à 0,74 GHz. Aujourd’hui, les processeurs dernière génération intégrés aux ordinateurs personnels tournent aux alentours de 3,5 GHz (jusqu’à 5 GHz en Turbo, et sous certaines conditions).
Du nombre de cœurs dépend le multitâche. Les processeurs actuels en comptent au minimum deux, bien que les processeurs quatre cœurs soient aujourd’hui la norme sur le marché des PC. Chaque cœur tourne sur l’exacte même fréquence que celle annoncée pour le processeur. On s’accorde généralement à dire qu’un cœur gère les tâches d’un logiciel. Cas d’exception : les applications très gourmandes en ressources, comme les jeux vidéo et les logiciels de montages, mettent régulièrement plusieurs cœurs à contribution.
…dans un châssis léger…
En moyenne 4 fois plus rapide qu'un PC portable équipé d'un disque dur, un PC équipé d'un SSD vous permettra aussi d'installer vos mises à jour plus rapidement et d'obtenir une meilleure autonomie grâce à des processeurs et des stockages toujours plus économes en énergie.
L'ergonomie de Windows lui permet de s'adapter à tous les types d'utilisateurs : du gamer avide de performances au créatif adepte du tactile. Votre PC répondra à tous vos besoins et se pliera à vos objectifs.
… au service d’un cloud computing hybride
En résumé, les évolutions actuelles donnent naissance à des PC aux processeurs toujours plus rapides, délaissant les disques durs traditionnels aux bénéfices de SSD. Un constat qui penche en faveur de nouveaux usages, parmi lesquels le cloud computing. Pour rappel, le cloud computing permet de profiter de ses applications et jeux en ligne, et donc de soulager à la fois ses espaces de stockage en local et son processeur. Mieux encore, certains services optent pour un format hybride, permettant de tirer avantage du cloud, mais également des activités en local. C’est notamment ce que propose Microsoft 365 avec sa suite bureautique Office, accessible en ligne et hors connexion.
En optant pour une technologie opérationnelle dans des environnements connectés et déconnectés, Microsoft 365 améliore le confort et la productivité de ses utilisateurs. Les applications de bureau comme Word, Excel ou PowerPoint permettent à chacun de conserver ses habitudes de travail tout en bénéficiant de la puissance de calcul du processeur de son ordinateur. On pense par exemple à Excel jugé gourmand en ressources CPU. En parallèle, l’espace de stockage en ligne mis à disposition par le service permet à la fois de s’affranchir d’un disque dur physique et d’épargner à son SSD des sollicitations trop nombreuses, grignotant lentement mais sûrement la durée de vie du lecteur.
Mais Microsoft 365 ne se résume pas à une simple liaison Office / OneDrive. La véritable plus-value du service réside dans la disponibilité de ses applications en ligne qui impliquent deux points importants : la possibilité d’accéder et de modifier ses documents depuis n’importe quel appareil équipé d’un navigateur et d’une connexion à Internet, et la possibilité de partager et de coéditer des documents avec n’importe quel(s) autre(s) utilisateur(s).
Microsoft 365 dans le détail
Outre les applications Office et options que chacun connaît bien, Microsoft 365 entend bien offrir à ses abonnés un accès privilégié à de nombreuses nouvelles fonctionnalités.
La maîtrise de la langue avec Rédacteur Microsoft
On peut l’essayer gratuitement grâce à l’extension de navigateur éponyme, mais le Rédacteur Microsoft trouve sa véritable utilité au sein de Microsoft 365. Intégré à Office en ligne (dont Outlook) et aux applications de bureau, le module traque les fautes d’orthographe, les erreurs de grammaire avancées, le langage informel, le manque de clarté, les phrases trop longues et alambiquées.
Le Concepteur PowerPoint pour des présentations professionnelles
Parce qu’il n’est pas toujours évident de créer des présentations de qualité, à la fois élégantes, claires et efficaces, Microsoft 365 génère automatiquement des propositions de mises en page équilibrée. Les types de contenus sont analysés en arrière-plan puis assemblés de manière cohérente. Les textes trop longs sont automatiquement convertis en graphiques ou schémas lisibles.
Des documents accessibles de partout grâce à la synchronisation OneDrive
Il n’est plus utile d’emporter son disque dur externe partout avec soi. OneDrive alloue 1 To de stockage en ligne aux abonnés Microsoft 365. Les options de sauvegarde personnalisables facilitent notamment la synchronisation de répertoires locaux importants comme les Documents, Images, Bureau. Les fichiers les plus sensibles profitent d’une sécurité supplémentaire grâce au coffre-fort OneDrive compatible Microsoft Authenticator.
Quels tarifs pour les particuliers ?
Microsoft 365 se plie à vos habitudes de travail et propose deux formules adaptées aux particuliers :
Microsoft 365 Personnel : 69 €/an pour 1 utilisateur. L’abonnement comprend également 1 To de stockage sur OneDrive, l’accès aux versions Premium des applications Office en ligne et hors connexion.
Microsoft 365 Famille : 99 €/an pour 6 utilisateurs. L’abonnement comprend également 1 To de stockage pour chaque membre de la famille (6 To au total), l’accès aux versions Premium des applications Office en ligne et hors connexion, et l’intégration de Microsoft Safety Family.