Pourquoi jouer à Sneaker Art ?

Ce jeu de simulation s’adresse aux fans de sneakers. Il permet de personnaliser toutes sortes de baskets. Cependant, les paires les plus rares ne sont pas directement accessibles.

La couleur de l’argent…

Lorsque le jeu débute, notre boutique est vide. D’emblée, l’application nous propose de nous abonner à la version payante pour débloquer un pass « accès complet » à 5.99€/semaine. À ce prix, nous disposerions de l’ensemble des peintures, lacets et de toutes les boîtes. Nous serions également débarrassés des publicitésSneaker Art annonce la couleur de suite. Ce n’est pas forcément pour nous déplaire. Nous décidons (évidemment) de poursuivre la découverte, sans céder à la tentation du premium.

La première paire proposée est une Pumo 350. Le coût de la licence officielle devait être trop élevé ! Une présentation succincte indique l’histoire du modèle. Nous devons avant tout personnaliser la chaussure brute. Pour cela, on doit faire glisser notre pinceau sur les différentes parties de la basket.

On commence par présélectionner l’endroit voulu en maintenant notre doigt durant quelques secondes. Ensuite, nous badigeonnons avec la teinte choisie. Le remplissage n’est pas automatique. Une vibration se déclenche à chaque coup de pinceau. Un bandeau sponsorisé apparaît en permanence, ainsi qu’une annonce vidéo d’une quinzaine de secondes à l’issue de chaque étape.

Un business model basé sur les pubs et achats in-app

On se prend rapidement au jeu. Si les premiers modèles sont plutôt sages, on a bien vite envie de proposer des créations plus originales. Les couleurs les plus rares sont payantes. Il en va de même pour les packagings et les différents lacets. On connaît l’importance qu’attachent les « sneakerheads » à ces détails ! Heureusement, certains items sont déblocables en visionnant une vidéo publicitaire.

Selon l'attention que nous porterons à nos personnalisations, la valeur de celles-ci sera plus ou moins importante. Placer correctement les chaussures dans leur boite augmentera leur coût. Il en ira de même si nous choisissons une peinture premium ou débloquons un emballage luxueux. La mise en boite des baskets est essentielle. Cependant, nous avons eu du mal à trouver un positionnement correct. Les commandes sont parfois imprécises.

Le modèle suivant est inspiré par une fameuse marque italienne. On prend ainsi plaisir à customiser des Guccini… La difficulté se corse un peu, mais reste tout à fait abordable. Les différentes sneakers sont assez bien modélisées. Sneaker Art est plutôt plaisant. Nous apprécions de voir nos rayons se garnir petit à petit. 132 modèles sont annoncés par l’éditeur parisien TapNation : voilà de quoi garantir de longues heures de jeu. À condition bien sûr de supporter les publicités, parfois vraiment trop intrusives.