La dernière licence UMTS se fait attendre. Selon le quotidien LaTribune, le gouvernement aurait renoncé à la mise aux enchères de la quatrième licence 3G nationale au profit d'une cession « par blocs», reposant sur des critères de prix mais également de couverture ou de qualité de service. En clair, la dernière licence pourrait être commercialisée à différents opérateurs régionaux, à l'image de ce qui a pu déjà être fait avec la technologie Wimax.
Une décision qui reste à confirmer et qui apparaît en tout cas comme un compromis entre le souhait des trois grands opérateurs cellulaires d'empêcher l'arrivée de nouveaux concurrents et l'intérêt porté au secteur par des opérateurs alternatifs comme , Numéricâble ou encore bollore-telecom.
L'information était en tout cas interprétée par les marchés financiers comme favorable aux opérateurs historiques. A la mi journée, les cours de , Vivendi (maison de SFR) ou Bouygues étaient en légère hausse tandis que celui d'Iliad, maison mère de Free, reculait de 1,45%.