Le fait que Primax ait refusé de signer avec Microsoft « est injuste pour les nombreuses sociétés qui ont passé avec nous des accords de licence, dont nous prenons les mesures nécessaires pour défendre nos partenaires et nos innovations », commente Horacio Gutierrez, avocat conseil en charge des questions de propriété intellectuelle chez Microsoft.
Parmi les points de friction entre les deux fabricants, on trouve la technologie U2, laquelle permet à un périphérique comme une souris ou un clavier de détecter sur quel type de port il est branché (PS2 ou USB) et d'adapter son comportement en conséquence. Belkin, un temps accusé d'utiliser cette technologie sans l'accord de Microsoft, avait fini par accepter un arrangement à l'amiable avec Microsoft plutôt que de laisser l'ICT trancher. Primax suivra-t-il le même chemin ?