L'éditeur Panda Security vient de lancer la commercialisation du cru 2010 de son offre en matière de logiciels de sécurité, à destination du grand public ou des petites entreprises. Elle s'articule autour de quatre suites logicielles qui toutes promettent des performances accrues, ainsi qu'une consommation mémoire réduite. L'une d'entre elles est adressée aux possesseurs de netbooks, les ordinateurs ultraportables à bas prix.
Peu avare en chiffres, Panda promet pour ses éditions 2010 « des performances 80 % supérieures à celles des versions précédentes », avec pour les versions grand public, « une navigation sur Internet 60 % plus rapide et un temps de téléchargement réduit de 40 % », ne monopolisant que 8 Mo de mémoire vive.
Panda Internet Security 2010 constitue le fer de lance de l'éditeur, puisque cette suite est censée prémunir l'utilisateur de l'ensemble des menaces susceptibles de circuler sur le Net. Le moteur de détection et de nettoyage se charge entre autres choses des virus, des malwares et tentatives de phishing. Egalement de la partie : un filtre antispam destiné au client de messagerie, un pare-feu (firewall), un logiciel de contrôle parental et un système de sauvegarde en ligne, avec 2 Go d'espace disponible et des outils d'optimisation et restauration du PC. La licence d'un an, pour un maximum de trois PC, est commercialisée 65 euros.
Viennent ensuite Panda Global Protection 2010, avec un espace de sauvegarde en ligne de 5 Go (72,95 euros pour un an et trois PC), Panda Antivirus Pro 2010 (39,95 euros) et Panda Antivirus for Netbooks, une édition plus légère, vendue 32,95 euros pour un an et une machine.
Dans tous les cas, l'éditeur met en avant sa technologie Intelligence Collective Antimalware, qui consiste en une base de données en ligne à laquelle le logiciel accède pour récupérer les fichiers de signatures de nouvelles menaces. C'est elle qui permettrait d'alléger considérablement la consommation en ressources, tout en gagnant en réactivité lors de l'apparition de nouveaux virus, puisque son contenu est mis à jour « en temps réel ».