Pour tenter de rattraper son retard, Google a modifié sa stratégie nippone. Le moteur a abandonné son interface classique et a ajouté sur sa page d'accueil des liens vers ses principaux services en ligne, de la messagerie électronique Gmail à la plateforme video YouTube.
Google ne saurait céder un riche pays qui abrite 90 millions d'internautes réguliers, les trois quarts connectés à l'internet haut débit, les deux tiers également adeptes du multimedia mobile. Par ailleurs, malgré la crise économique, le Japon est le second marché publicitaire au monde, marché estimé à plus de 77 milliards de dollars.