Un début modeste, mais qui témoigne des nouvelles ambitions de Google en matière de vidéo à la demande. Le moteur de recherche indique en effet qu'aux côtés de ces cinq premiers films, il s'apprête à proposer à la location« une collection de films issus d'autres partenaires américains issus de différentes industries, allant de la santé à l'éducation ».
« En rendant les contenus disponibles à la location, nous allons donner à nos partenaires un contrôle sans précédent sur la distribution de leurs productions. Ils pourront décider le tarif associé à leurs vidéos et la durée de la location », indique encore Google via le blog officiel YouTube.
YouTube, accessible depuis un ordinateur mais également depuis de nombreuses set top box, consoles de salon ou télévisions connectées, devrait ainsi se positionner comme un concurrent direct des services spécialisés dans la vidéo à la demande aux Etats-Unis, d'iTunes à Amazon en passant par Netflix ou Blockbuster. En 2006, Google avait déjà tenté la location de contenus vidéo via le Google Video Store, fermé l'année suivante.