Malheureusement, beaucoup d'acheteurs ont déjà déchanté face aux nombreux problèmes rencontrés avec ce nouveau hit. Ainsi, en sus de l'inévitable phase de mise à jour des Cartes Graphiques (voir Nouveaux pilotes NVIDIA : merci BioShock !), les utilisateurs vont devoir faire face à d'autres soucis matériels.
Certains ont ainsi découvert, à leur dépend, que le jeu gérait très mal les écrans 16:10 (un comble pour un titre récent !), aussi bien sur PC que sur Xbox 360. L'affichage sur un écran 16:10 serait ainsi réduit (sur la photo ci-dessous, la partie rouge représente une zone affichée sur un écran 4:3, mais absente avec un écran 16:10. Le mode 16:10 n'affiche d'ailleurs pas de zones plus étendues sur les côtés ...). Le problème serait en train d'être étudié et devrait être corrigé via un patch prochainement...
Un autre problème concerne la protection utilisée par le jeu et qui défraye à présent la chronique. BioShock , dans sa version PC, se base effectivement sur la protection Securom et impose plusieurs limitations. Ainsi, le jeu demande à ce qu'une connexion Internet soit toujours active pour jouer ou pour procéder à son installation.
Par ailleurs, de base, BioShock ne peut pas être installé plus de deux fois ! Si vous décidez d'installer le jeu une troisième fois (par exemple pour y jouer sur un autre ordinateur), il faudra procéder à une désinstallation sur vos autres ordinateurs. Fâcheuse limitation, d'autant plus que ce système aurait tendance à ne pas prendre en compte correctement les différentes désinstallations effectuées..
Après moult protestations, 2K Games a finalement décidé de réagir et devrait faire passer le nombre d'installations possibles (sur une même machine) de 2 à 5 prochainement via la publication d'une petite application supplémentaire (encore une ...). Tandis que le nombre de machines sur lesquelles le jeu pourra être installé passera de 3 à 5. Il y a toutefois peu de chances que cette nouveauté soit suffisante pour calmer les joueurs qui réclament haut et fort une abolition complète de cette protection restrictive et bancale... Espérons qu'ils finiront par être écoutés ! A bon entendeur...
