La société part du principe que de nombreuses infections sont le fait de programmes non mis à jour et donc soumis à des vulnérabilités. Ces applications tierces sont alors le point d'entrée de certains esprits malveillants.
Secunia a fait le choix de prendre en compte 50 programmes parmi les plus utilisés (sur un panel de 2 millions d'utilisateurs). 26 d'entre eux proviennent de Microsoft, les autres étant des applications Adobe, Apple ou autres. « Nombre de programmes disposent peut-être de mécanismes de mises à jour automatiques mais pas de calendrier de vérification des nouveaux patchs », constate la société.
Depuis sa première mise en ligne, PSI a déjà été téléchargé 6 500 fois. La version 2.0 est gratuite et une mouture finale pourrait voir le jour en fin d'année.