Dans un communiqué, l'éditeur russe confirme qu' « après des vérifications étendues, les spécialistes de Kaspersky Lab ont découvert un lien avec un incident, survenu début 2008, dans lequel un ancien employé, qui avait accès au code source des produits grand public, annonçait que ce code pouvait être acheté via Internet. L'incident a été, à l'époque, rapidement signalé aux organismes compétents ». La personne reconnue comme source de la fuite avait alors été condamnée à une peine de trois ans et demi de prison avec sursis.
A en croire l'éditeur, ce code source était donc le même que celui diffusé en 2008. Pour sa défense Kaspersky explique également que le informations volées sont obsolètes et « ne sont pas directement lié aux fonctionnalités de protection » de sa solution.