Selon une source proche, les autorités fédérales « ont commencé à coopérer étroitement avec les différentes organisations ». Il faut dire que des sites d'ayants droit ou d'acteurs majeurs comme la RIAA ont été rendus indisponibles sans que cela ne change radicalement les positions prises par leurs responsables.
Enfin, le site rappelle que des sanctions ont déjà été prononcées comme pour cet étudiant américain qui a été condamné à 30 mois de prison pour avoir lancé des attaques Ddos contre des sites Web traitant de politique.
La question des attaques Ddos semble donc ne pas faire l'unanimité. Si le principe de l'action civique peut être retenu, les moyens sont plus douteux et contribuent à durcir le comportement des organisations visées. Le but obtenu est alors l'inverse de celui recherché...