Comme son nom l'indique (une fois n'est pas coutume), le Nike+ Fuelband SE n'est qu'une mise à jour du premier modèle. Mise à jour tant matérielle que logicielle d'ailleurs.
Une synchronisation permanente via Bluetooth Low Energy
Sur le plan technique, le principal apport de cette seconde édition est le Bluetooth 4.0, dont le profil Low Energy (basse consommation) permet d'assurer une synchronisation permanente et automatique avec l'application sur smartphone. Il fallait expressément l'enclencher avec le précédent modèle.En outre le circuit imprimé a été revu pour améliorer la flexibilité ainsi que l'étanchéité du bracelet, et l'afficheur constitué de 100 LED blanches et de 20 LED colorées a lui aussi été amélioré. La finition semble meilleure dans l'ensemble.
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Fonctions supplémentaires
Sur le plan fonctionnel, le Fuelband SE se fait montre à son tour : il suffit désormais de taper deux fois sur le bracelet pour afficher l'heure, alors qu'il fallait jusqu'à présent appuyer plusieurs fois sur l'unique bouton. Le bracelet détecte dorénavant l'activité yoga — en plus des activités existantes telles que la marche, la course à pied, le vélo ou la danse — et attribue des NikeFuel en conséquence.Enfin l'application présente plus clairement les séances d'activité de l'utilisateur, qui peut d'ailleurs les nommer, et elle l'invite à bouger cinq minutes par heure s'il ne le fait pas. Cette application reste malheureusement réservée à l'iPhone, elle n'est toujours pas disponible sur Android ni sur aucune autre plateforme. À défaut de terminal Apple, les utilisateurs peuvent toujours synchroniser leur bracelet avec un ordinateur via USB.
Le Nike+ Fuelband SE sera donc disponible en France, contrairement à son prédécesseur qui ne l'était qu'aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Il sera mis en vente au mois de novembre au prix public de 140 euros. On peut d'ores et déjà le précommander sur le site Internet du fabricant.
