Ces choix sont dans la droite ligne du plan de rationalisation des dépenses, engagé dès 2015 par Alcatel-Lucent, désormais propriétaire de la marque. A l'horizon 2018, environ 900 millions d'euros devraient être réalisés. Dans le détail, ce sont les activités relatives à la 3G, 4G, mais également à la gestion des données d'abonnés qui subiront les conséquences de ce plan.
Dans un communiqué, Nokia précise à ce titre que « les fonctions centrales et les fonctions support du pays sont également appelées à être réduites, la France n'hébergeant plus le siège d'Alcatel-Lucent, et les équipes de Nokia Solutions and Networks et d'Alcatel-Lucent International devant être regroupées. »
Plus logique, le groupe va opérer un regroupement du personnel autour des deux sites majeurs d'Alcatel-Lucent à savoir Nozay et Lannion. La majeure partie des salariés de Nokia seront donc transférés sur ces sites.
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