Selon le Wall Street Journal, le pays estimait que le smartphones du constructeur canadien permettaient « aux individus de commettre des violations sans risque de poursuites, ce qui pourrait aboutir à des implications dangereuses pour la sécurité nationale, judiciaire et sociale ». Une position dure.
Mais à l'image de l'Inde, RIM avait entamé des pourparlers afin de trouver un terrain d'entente et de continuer à commercialiser le smartphone. Du coup, l'Autorité de Contrôle des Télécommunications (TRA) des Emirats a donc expliqué que « les services du BlackBerry se poursuivront comme à l'accoutumée et ne seront pas suspendus le 11 octobre ».