Ce dernier est d'abord un des rares logiciels de ce type doté d'une interface un tant soit peu chiadée, mais également traduite en français. Un point non négligeable quand il s'agit de plonger dans les paramétrages.
Niveau configuration justement. Codé encodeur, le choix est assez limité, les utilisateurs avancés regretteront peut-être. Il n'est possible que de choisir entre « Rapide », « MPEG » et le H264. Ce dernier possédant le meilleur rapport poids/qualité est aussi le plus gourmand ; un impact sur les performances que la machine devra encaisser, si elle le peut.
Pour le reste (configuration audio, raccourcis, captures d'écran, dossiers de sortie...) rien de plus simple. Notons au passage qu'il sera possible de configurer plusieurs sources audio et de les enregistrer dans des fichiers séparés ; pratique pour le montage.
En outre, un des autres points forts de PlayClaw est dans l'overlay des informations affichées en jeu : FPS, vitesse d'horloge du processeur, charge CPU, GPU, statistiques d'enregistrement, heure, etc. Dommage que ces données ne sont pas exploitées pour le benchmarking comme elles le sont avec FRAPS.
Remarque : En version d'essai, l'utilisateur verra ses captures vidéos affublées d'un filigrane.
Pour vous aider à mieux choisir...