Basé sur des données comptables de l'exécutif européen, ce système inclut quelque 28.000 entrées concernant des programmes liés aux technologies, à la recherche, l'éducation, la culture, l'énergie, les transports, etc. Il s'inscrit dans le cadre de l'initiative « transparence » de Bruxelles.
« Nous avons toujours affirmé que les programmes de l'UE bénéficiaient à des particuliers, à des entreprises et à des membres de la société civile dans les 27 Etats membres et au-delà. Désormais, tout citoyen de l'UE peut le vérifier à tout moment. Il s'agit d'une forme de responsabilisation tant pour la Commission que pour les gestionnaires de programmes dans toute l'UE », a souligné Siim Kallas, vice-président de la Commission chargé des affaires administratives, de l'audit et de la lutte antifraude, dans un communiqué daté du 2 octobre 2008.