Obélix débouté par Mobilix, une marque d'Orange
Les éditions Albert René, fondées par Albert Uderzo, père d'Astérix et d'Obélix, deux marques déposées dans une cinquantaine de pays, craignaient un risque de confusion avec la marque Mobilix, déposée par l'opérateur téléphonique pour des produits de télécommunications. Contrairement à l'éditeur, le Tribunal de première instance de la Cour européenne de justice avait estimé en octobre 2005 qu'il n'existait « qu'une très faible similitude visuelle entre Mobilix et Obélix » malgré « une certaine similitude phonétique » et avait rejeté une première fois le recours. Avant de le rejeter une deuxième fois hier, insistant sur le fait que le terme Mobilix « peut être facilement perçu comme faisant référence à la mobilité » et rappelant que les éditions Albert René n'ont aucun « droit exclusif » sur le suffixe « ix ».
Il a beau être tombé dans la marmite étant petit, la protection d'Obélix est une idée fixe pour son éditeur, qui avait remporté un premier procès en Allemagne contre un autre Mobilix, devenu Tuxmobil, un magazine relatif aux UNIX sur mobiles, faute de potion magique ou de légions d'avocats.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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