Trop cher, inutile, réservé aux fans de streaming ? Les VPN sont critiqués à tort et à travers. Et pourtant, leur utilité n’a jamais été aussi évidente.

« Un VPN, ça ne sert à rien. » Trop lent, trop cher, juste bon pour débloquer Netflix… Vous avez sûrement entendu ces critiques. Mais combien d’entre elles tiennent vraiment la route ? Entre clichés dépassés et incompréhensions, la réalité est bien différente. Un VPN, ce n’est pas un gadget, c’est une protection essentielle qui répond à des besoins réels dans un monde où vos données personnelles sont constamment exposées.
1. « Un VPN, c’est juste un argument marketing, HTTPS fait déjà bien le travail »
Vous pensez que HTTPS suffit à vous protéger ? Pas si vite. HTTPS, c’est top pour sécuriser vos échanges avec un site web, mais ça ne couvre qu’un bout de votre trafic. Vos requêtes DNS circulent souvent en clair. Et sur un Wi-Fi public, votre activité reste visible : qui vous êtes, où vous allez, combien de temps vous y restez… tout ça peut être intercepté. Vous laisseriez vraiment ces infos à la portée de n’importe qui ? Un VPN, lui, chiffre tout votre trafic, vous protège contre les attaques « man-in-the-middle » et empêche votre FAI de suivre vos faits et gestes en ligne.
Concernant l’effet de mode, maintenant. Il est vrai, certains discours publicitaires sont un peu alarmistes (les pubs YouTube, on les connaît). Mais réduire l’ensemble des VPN à un coup de com’, c’est oublier que c’est une technologie solide, utilisée depuis des années par les entreprises et les pros de la sécurité. Ce n’est pas parce qu’ils ont gagné en popularité auprès du grand public qu’ils ont perdu leur utilité. Ou alors, si protéger sa vie privée est une tendance, ce serait bien qu’elle dure.
2. « Un VPN, ça vole vos données, c’est encore pire qu’un FAI »
Ah, l’éternel débat. Oui, certains VPN gratuits collectent vos données pour financer leurs services. Mais les confondre avec des leaders sérieux, c’est comme dire que toutes les voitures polluent autant qu’un vieux diesel. Les meilleurs VPN suivent des politiques strictes de non-conservation des logs, souvent auditées par des organismes indépendants.
Maintenant, parlons de votre FAI. En France, il ne peut pas revendre vos données personnelles, mais il conserve des journaux de connexion pour des raisons légales. En clair, il sait où vous allez, quand, et combien de temps vous y restez. Pas très rassurant, n’est-ce pas ? Avec un VPN fiable, tout votre trafic est chiffré, et ces données ne sont plus exploitables. En résumé, vous gardez le contrôle sur ce qui vous appartient.
Alors, à qui préférez-vous confier vos données ? À un fournisseur no-log qui protège votre vie privée, audits à l’appui, ou à celui qui, par obligation, en conserve la trace ?

3. « Un VPN, c’est juste pour ceux qui ont des choses à cacher »
Vouloir protéger ses données, c’est être parano ? Curieux raisonnement. Avec ce genre de logique, configurer un mot de passe sur votre téléphone ou verrouiller la porte de chez vous, c’est excessif aussi, non ? La vérité, c’est qu’un VPN est un outil comme un autre pour garder le contrôle sur votre vie numérique. Grandes entreprises, ONG, journalistes… tous l’utilisent. Et vous devriez aussi, si vous tenez à votre confidentialité.
Autre classique : le fameux "je n’ai rien à cacher". Ce n’est pas une question d’avoir quelque chose à cacher, mais plutôt de savoir qui regarde. Votre historique de navigation, vos connexions, vos habitudes… tout ça peut être collecté, vendu, ou exploité. Dire "je n’ai rien à cacher", c’est un peu comme laisser vos fenêtres grandes ouvertes sous prétexte que personne ne viendra regarder. On protège ses données pour éviter que quelqu’un d’autre ne les utilise à son profit, pas parce qu’on a un secret d’État à couvrir.
Quant à l’idée que seuls les criminels utilisent des VPN, elle est dépassée. Les vrais malfaiteurs ont accès à des outils bien plus sophistiqués. Un VPN, sert à sécuriser les connexions et les données sensibles de M. et Mme Tout-le-Monde, pas un accessoire réservé aux « criminels imaginaires ».
4. « Un VPN, c’est inutile contre les vrais dangers »
Un VPN ne remplace pas un antivirus, mais dire qu’il est inutile face aux menaces en ligne, c’est passer à côté de son évolution. Aujourd’hui, les VPN ne se limitent plus à masquer une adresse IP. Certains abonnements incluent même un antivirus, ajoutant une couche de sécurité supplémentaire contre les malwares et autres cybermenaces. Chez NordVPN, par exemple, la fonctionnalité Threat Protection permet d’analyser et de bloquer les fichiers dangereux avant même qu’ils ne soient téléchargés, de neutraliser les publicités malveillantes et d’empêcher le suivi en ligne.
Un VPN moderne, c’est donc bien plus qu’un tunnel chiffré. Il s’intègre dans une approche plus large de la cybersécurité, combinant anonymat, protection des données et outils défensifs pour sécuriser votre activité en ligne au quotidien.
5. « Un VPN, ça ne sert que pour Netflix »
Ce cliché mérite un petit fact-checking. Oui, les VPN sont souvent associés au déblocage de Netflix US ou d’autres catalogues étrangers, mais réduire leur utilité à ça, c’est comme dire qu’un smartphone ne sert qu’à envoyer des SMS. C’est un usage sympa, mais loin d’être le principal.
En réalité, la vraie force des VPN réside dans leur capacité à sécuriser vos connexions, surtout sur les réseaux publics où les hackers se régalent. Et pour celles et ceux qui voyagent, ils permettent aussi de contourner la censure et de sécuriser des appels VoIP. Bref, bien plus qu’un simple outil de streaming.
6. « Un VPN, ça plombe la connexion »
Spoiler : un bon VPN ne transforme pas la fibre en modem 56k. C’était peut-être vrai il y a dix ans, mais aujourd’hui, les VPN modernes sont largement optimisés. Avec des technologies comme OpenVPN, WireGuard ou des protocoles maison, et des serveurs ultra-rapides, la différence est souvent imperceptible. Si vous avez l’impression que tout rame, c’est certainement que votre connexion de base est déjà en difficulté. Ou que vous n’avez pas choisi le bon fournisseur VPN.
7. « Un VPN, c’est trop cher »
Trop cher ? Un abonnement VPN coûte entre 3 et 10 € par mois, soit le prix d’un café ou d’un abonnement à une plateforme de streaming. Mais à la différence d’un latte macchiato, un VPN protège vos données, sécurise vos connexions, et vous offre une vraie tranquillité d’esprit. Vous trouvez ça encore trop cher ? Pourtant, quand on compare au prix potentiel d’un vol de données ou d’une fraude bancaire, le calcul est vite fait. Comme souvent, anticiper coûte bien moins cher que réparer les dégâts.
NordVPN : et si on parlait d’un VPN qui fait vraiment le travail ?
Pour un VPN qui sait vraiment faire le job, difficile de ne pas penser à NordVPN. Avec 7 100 serveurs dans 118 pays et son protocole maison NordLynx, il garantit des connexions rapides et fiables, idéales pour sécuriser vos données sur un Wi-Fi public, streamer en haute qualité ou contourner les blocages géographiques.
Mais chez NordVPN, tout n’est pas qu’une question de vitesse. Pour celles et ceux qui cherchent une confidentialité renforcée, il propose des serveurs spécialisés comme le Double VPN, qui double le chiffrement, ou Onion-over-VPN, parfait pour accéder au réseau Tor sans configuration compliquée. Les serveurs obfusqués, quant à eux, permettent de contourner les restrictions dans des pays où l’usage des VPN est limité. En prime, son module de Protection Anti-menaces dopé à l’intelligence artificielle permet de bloquer pubs, trackers, malwares et sites frauduleux avant même qu’ils n’aient le temps d’agir.
NordVPN innove aussi avec Meshnet, une fonction unique qui transforme vos appareils en un réseau privé décentralisé. Que vous travailliez à distance ou partagiez des fichiers sensibles, c’est une solution sécurisée et flexible qui pousse les capacités d’un VPN encore plus loin.
Côté confidentialité, difficile de trouver mieux : basé au Panama, NordVPN est à l’abri des législations intrusives et applique une politique no-log strice, confirmée par des audits indépendants réguliers, comme celui de Deloitte en 2024. Et avec la prise en charge de 10 appareils connectés en même temps, tout le foyer peut être protégé pour un tarif débutant à 3,39 € par mois, pendant 2 ans. Une solution complète, au prix d’un latte.
- storage7150 serveurs
- language118 pays couverts
- lan10 connexions simultanées
- moodEssai gratuit 30 jours
- thumb_upAvantage : le réseau Mesh
NordVPN améliore sa couverture mondiale et ses options, mais perd en qualité de performances. NordLynx offre toujours des débits satisfaisants pour répondre aux usages web classiques, mais il perd légèrement en efficacité cette année. En contrepartie, le fournisseur développe régulièrement de nouvelles fonctionnalités destinées à enrichir la navigation. Aujourd’hui, il outrepasse son statut de VPN et s'impose comme un écosystème dédié à la confidentialité, ce qui lui permet de maintenir un bon rapport qualité-prix. L'abonnement NordVPN Avancé inclut VPN + NordPass (gestionnaire de mots de passe) tandis que la formule NordVPN Premium inclut VPN + NordPass + NordLocker (Stockage cloud sécurisé).
- Bonnes performances avec NordLynx
- Streaming (dont Netflix US) et accès TV très efficaces
- Très grand nombre de serveurs
- Serveurs RAM colocalisés infogérés
- Réactivité du support client
- Configuration routeur complexe
- Pas d'infos sur l'état de charge des serveurs
- Performances OpenVPN décevantes