Comme le rapporte Les Echos, ce n'est d'ailleurs pas la première fois qu'un tel problème se pose pour l'opérateur mobile, 7 gérants de boutiques Bouygues ayant déjà obtenu gain de cause pour des faits similaires en avril dernier devant le conseil des prud'hommes de Versailles. Confirmé récemment en appel, ce jugement d'a pas encore défini de montant de dommages et intérêts pour les gérants de boutique.
Reste à savoir ce premier jugement fera office de jurisprudence et si les autres gérants des boutiques des « Réseau Clubs Bouygues Telecom » envisagent également prochainement de déposer une plainte pour modifier les termes de leur contrat devant les prud'hommes.