Par écrasement, l'Arcep propose la définition suivante : « Quand un client, déjà abonné à un ou plusieurs services fixes (téléphone, accès DSL Internet, etc.), souscrit un abonnement auprès d'un autre opérateur, l'établissement de ce nouveau service peut éventuellement venir "écraser" un service précédent. On parle d'écrasement "à tort", lorsqu'un écrasement a lieu sans que le client ait souscrit un quelconque abonnement auprès d'un nouvel opérateur ».
Ce rappel s'adresse aux consommateurs, plus nombreux à signaler ces désagréments « entrainant de facto l'indisponibilité du téléphone ou de l'Internet », mais également aux opérateurs, France Télécom et les opérateurs de dégroupage, avec lesquels l'ARCEP a entamé des discussions « pour améliorer les processus opérationnels ». En théorie, les opérateurs doivent procéder gratuitement et dans les meilleurs délais au rétablissement de ces services.
Le FAQ de l'Arcep sur le sujet : Que faire en cas "d'écrasement à tort" ?