A l'issu du test, le positionnement se précise et, Présidentielle oblige, l'identité du candidat associé. Si l'exercice reste subjectif, il permet de mettre en lumière de grandes lignes avec explications à l'appui. « Grâce à un questionnaire de satisfaction à la fin du test, on sait qu'environ 85% des gens sont satisfaits du résultat obtenu, et que le taux de reconnaissance du positionnement gauche-droite est de 90% », a souligné Laurent Cald.
Avant de poursuivre : « Dans le petit formulaire de satisfaction proposé à la fin du test, il est demandé aux internautes quel est leur candidat préféré. Les résultats sont très variables d'un jour à l'autre, mais, globalement, N. Sarkozy (UMP), S. Royal (PS) et F. Bayrou (UDF) évoluent tous les trois entre 25% et 30%, O. Besancenot (LCR) tourne autour de 5%, J.M. Le Pen (FN), entre 3% et 4%, et les autres à 2% et moins. Quant aux 'préférences' du Politest, elles sont simples : que chacun vote d'abord en fonction de ses idées, et non par rapport aux sondages ou aux personnalités supposées des candidats ».
D'autres tests de positionnement politique sont disponibles en ligne, des blogs aux sites des médias traditionnels (Sitoyen.fr, Pourquivoter.com, Quelcandidat.com, Polimètre de RTL, etc.)