Très efficace, la solution Spinvox repose sur un infrastructure assez sophistiquée. un premier serveur analyse le message et identifie la langue utilisée (anglais, français, allemand, espagnol..) ou l'éventuelle présence de chiffres et de noms propres. Ensuite, un second serveur retranscrit le message vocal en texte en utilisant une technologie de reconnaissance vocale (Spinvox mais également Nuance, ou technologies de laboratoires universitaires...). Enfin, un troisième serveur corrige le texte, en s'appuyant sur un dictionnaire de plus de 500 000 mots et appliquant les règles orthographiques et grammaticales de la langue de l'utilisateur.
“Si notre solution hésite sur une retranscription, un humain peut même intervenir pour rectifier le texte puis améliorer le dictionnaire ou les règles de traduction. Nous respectons la confidentialité des échanges de nos utilisateurs et ces intervenants n'ont jamais accès à l'ensemble du message.” précise Daniel Doulton, Co-fondateur et directeur stratégique de Spinvox.
Testée dans des réseaux sociaux (Twitter, Jaïku ou Facebook) et les systèmes de messagerie unifiée d'entreprise (Avaya, Notel, , Microsoft,...), cette solution de retranscription vocale vise en priorité le marché des opérateurs télécoms en leur promettant plus de trafic data, d'éventuels revenus premium et une meilleure satisfaction de leurs abonnés. Partenaire des grands éditeurs de messagerie (comverse, logica, unisys, alcatel,....), Spinvox a déjà séduit de grands opérateurs (Rogers, Vodafone, SaskTel et même Skype) et vise plusieurs dizaines de millions d'utilisateurs dès l'année 2009.