Le site The Register a dévoilé cette affaire et a expliqué que deux postes utilisés en interne avaient été retirés. Les services qui ont été hackés étaient des réseaux qui fonctionnent sous un kernel Linux, explique Microsoft. En plus de cette vague de spams, un poste de la firme aurait également servi à lancer une attaque en déni de service.
Brian Krebs, un bloggeur spécialisé en sécurité estime que ces attaques auraient des origines russes via des hackers versés dans le détournement de postes afin d'envoyer massivement des messages non-sollicités. Pour autant, Microsoft affirme qu'aucune données des consommateurs n'aurait été compromise.