Outre ces données, le Guardian indique que les pirates ont mis en ligne des informations permettant d'identifier clairement l'identité de 173 responsables déployés en Afghanistan et de 170 militaires américains envoyés en Irak. Interrogés par le quotidien britannique, des spécialistes en sécurité ajoutent que certaines informations publiées sont sensibles et pourraient jouer en la défaveur des responsables en cause.
En juillet dernier, un groupement de hackers connu sous le nom d'Inj3ct0r Team prétendait avoir compromis un serveur appartenant à l'OTAN. Des données qu'ils jugeaient confidentielles auraient ainsi été obtenues. A l'époque, les hackers reprochaient à l'organisation du traité de l'Atlantique nord de ne pas avoir suffisamment sécurisé l'un de ses serveurs. Une attaque qui avait déjà fait écho à un autre hack de la librairie en ligne de l'OTAN en juin 2011.