Selon l'AFP, une « quarantaine de sites Web de ministères ou d'agences gouvernementales » auraient été indisponibles provisoirement. L'attaque a visé les sites de la présidence sud-coréenne, mais également le ministère des affaires étrangères ou certains portails de la deuxième armée américaine présente Corée.
Les premières pistes tendraient à penser que la Chine pourrait orchestrer ces Ddos grâce à des « hacktivistes » ou hackers patriotiques, pour autant rien ne peut encore être confirmé. Pourtant, à en croire un partie des sud-coréens, son voisin du nord aurait constitué une unité spécialisée dans le piratage informatique...