Agé de 28 ans, Lauri Love serait parvenu à s'introduire et se maintenir dans ces réseaux via notamment des injections SQL. Il aurait alors été en mesure d'accéder à des informations comme des contrats en cours, des lignes budgétaires, des analyses et autres plans militaires en consultant le contenu de certains serveurs.
Selon la BBC, ce britannique n'aurait pas agi seul et des informations personnelles portant sur 4 000 collaborateurs contenues dans la base de données de l'agence chargée des missiles de défense auraient été consultées. Toujours est-il que les autorités américaines ne comptent pas laisser le hacker continuer ses pratiques.
Son procès devrait avoir lieu en février prochain. En attendant, il est accusé d'avoir accédé sans autorisation à un système informatique mais également d'avoir agi à l'encontre des services américains.