L'Iran fait volte-face après avoir nié une infection informatique virale, le pays, via son responsable explique que : « Ce virus a été créé il y a un an et a collecté des informations sur les ordinateurs industriels. Les ordinateurs personnels étaient les plus affectés par le malware ». Ainsi, ce serait pas moins de 30 000 adresses IP qui auraient été « infectées ».
Mohsen Hatam a donc démenti les informations sur le caractère dangereux du malware. Selon le responsable, le virus peut seulement collecter des informations avant de s'auto-détruire. Par cette méthode, Stuxnet aurait touché l'Iran, tout comme l'Inde, l'Indonésie ou le Pakistan.
Demeure la question de la protection des systèmes SCADA jugés critiques. Sur ce point, l'Iran dément clairement que des centrales nucléaires du pays aient été touchés par Stuxnet...