Lors d'une intervention télévisée, reprise par le New-York Times, le ministre du Renseignement Heydar Moslehi s'explique : « Je tiens à assurer à tous les citoyens que l'appareil de renseignement a actuellement une supervision complète sur le cyberespace et ne permettra pas une fuite ou destruction des activités nucléaires de notre pays ».
Rien sur l'identité, la nationalité ou la fonction des auteurs de l'attaque. L'Iran reste évasif sur ces points et préfère répéter que: « Ce virus a été créé il y a un an et a collecté des informations sur les ordinateurs industriels. Les ordinateurs personnels étaient les plus affectés par le malware ». Ainsi, pas moins de 30 000 adresses IP auraient été « infectées ». Aucune centrale nucléaire n'aurait donc été visée...