Pour le moment, la faille est exploitée par des hackers « qualifiés », mais la publication d'un « proof-of-concept » (PoC) sur Internet offre la possibilité à des pirates moins expérimentés de se l'approprier. Une situation qui inquiète les experts, qui indiquent que la faille peut être exploitée via Internet Explorer, Firefox, Opera, Safari et Chrome dans toutes leurs versions, sur Ubuntu 10.04, Windows XP, Vista et 7, ainsi que sur OS X 10.7.4.
Oracle n'a pas encore réagi face à cette menace, et prévoit toujours son prochain patch pour le 16 octobre prochain. En attendant, les experts en sécurité conseille de renforcer la protection des machines à risque, et même la désinstallation de Java 7 en attendant un correctif.