L'affaire remonte à 2012. A l'époque, VirnetX Holding mettait en avant le fait qu'elle détenait plusieurs brevets utilisés au sein de FaceTime. La société visait particulièrement la fonctionnalité permettant d'effectuer des appels vidéo reposant sur une technologie de réseau privé virtuel protégé.
La société estimait donc que le fonctionnement de ce VPN était régi par un brevet dont elle détient les droits. Après avoir donné raison dans un premier temps à VirnetX, la voilà désormais déboutée de sa requête. La justice reconsidère en particulier sa position sur deux brevets.
L'affaire n'est pas non plus close puisque, selon Reuters, les torts d'Apple ont été confirmés pour deux autres brevets. Le groupe devrait donc limiter la casse et régler une amende moins importante. Il revient désormais à la justice de réexaminer cette affaire au regard des nouveaux éléments apportés en appel.