La plus petite et la plus abordable des barres de son de la gamme HT-A de Sony, la HT-A3000 est pourtant loin d'être un modèle d'entrée de gamme. Connectée et plutôt ambitieuse, elle se trouve au cœur d'un écosystème modulaire créé par le constructeur japonais. Mais, annoncée comme une barre de son seulement 3.1 (canaux physiques), bien qu'avec une représentation Atmos du son, elle n'est pas à l'abri d'un accident immersif.
- Equilibre sonore
- Spotify Connect, Chromecast, Airplay 2
- Approche modulaire
- Qualité de la voie centrale
- Compatibilité Dolby Atmos et DTS:X
- Représentation Surround et Atmos très limitée
- Pas de sortie pour caisson de basses ni de prise S-Center
- Pas d'entrée HDMI (uniquement HDMI eARC)
La barre de son HT-A3000 est l'entrée de gamme HT-A. Cette mini-série se compose également de la barre de son HT-A5000 annoncée récemment, du modèle haut de gamme HT-A7000, ainsi que de l'innovant quatuor HT-A9. À ceci s'ajoutent 4 modules sans-fil optionnels : les enceintes surround arrière SA-RS3S (testées ici), les enceintes surround arrière + atmos SA-RS5, ainsi que les caissons de basses SA-SW3 (testé ici) et SA-SW5. Forcément, toutes ces options sont bien pratiques, mais font sensiblement gonfler la note. La barre de son HT-A3000 est vendue 690 euros, le caisson SA-SW3 est à 490 euros, et les enceintes surround SA-RS3S sont à 500 euros, soit 1 680 euros l'ensemble. Toutefois, des packs un peu plus abordables existent suivant les revendeurs.
Dans ce test, nous mettons bien évidemment la HT-A3000 au centre de tout, sans oublier les deux éléments séparés. Les essais se font ainsi avec et sans ces modules.
Discrète et bien construite
De taille raisonnable, 950 x 64 x 128 mm pour 4,6 kg, la HT-A3000 affiche un design à la fois passe-partout et pourtant déjà un peu premium. Sony mise, à l'instar des modèles plus haut de gamme, sur un plastique texturé d'un très bel effet, ainsi que sur une grille frontale relativement discrète. Tout est très bien assemblé, la fabrication est donc, à défaut d'être luxueuse, presque irréprochable.
Parallélépipède aux arêtes arrondies, la barre de son n'affiche aucune face anguleuse, puisqu'aucun haut-parleur latéral n'existe. Nous pouvons seulement noter les évents de la charge bass-reflex, placés sur les flancs.
L'arrière est assez classique, avec deux larges renfoncements destinés connectiques, tous les deux placés près des extrémités. Enfin, deux encoches standardisées autorisent une fixation murale.
Sur la face supérieure, même goût pour la discrétion, représentée par des commandes tactiles non rétro-éclairées.
Sony ne précise pas ouvertement la taille d'écran la plus adaptée ici. Selon nous, la HT-A3000 s'accorde surtout avec les téléviseurs 55" et 65".
La conception des modules testés ici, caisson de basses SA-SW3 et SA-RS3S, est dans la même veine, sérieuse et plutôt discrète. Le plastique texturé apporte un réel plus, et la sensation de solidité est bonne.
Fiche technique Sony HT-A3000
Format(s) audio supportés | AAC, Dolby Atmos, Dolby Digital, Dolby Digital Plus, Dolby TrueHD, DTS, DTS 96/24, DTS Digital Surround, DTS-ES, DTS-HD High Resolution Audio, DTS-HD Master Audio, DTS:X, FLAC, LPCM, MPEG 4, PCM (CD-Audio), WAV, WMA |
Puissance admissible | 250W |
Wi-Fi | Oui |
Système de compression numérique | Dolby Atmos, Dolby Digital, Dolby TrueHD, DTS, DTS 96/24, DTS-HD High Resolution Audio, DTS-HD Master Audio, DTS:X |
Format(s) audio supportés | AAC, Dolby Atmos, Dolby Digital, Dolby Digital Plus, Dolby TrueHD, DTS, DTS 96/24, DTS Digital Surround, DTS-ES, DTS-HD High Resolution Audio, DTS-HD Master Audio, DTS:X, FLAC, LPCM, MPEG 4, PCM (CD-Audio), WAV, WMA |
Puissance admissible | 250W |
Supports de stockage supportés | Clé USB |
Nombre de haut-parleurs | 5 |
Nombre de voies | 2 |
Nombre de haut-parleur Large bande | 3 |
Nombre de haut-parleur Grave | 2 |
Wi-Fi | Oui |
Multiroom | Oui |
Ethernet | Non |
Bluetooth | Oui |
AirPlay | AirPlay 2 |
Assistant vocal | Alexa |
Hauteur | 64mm |
Largeur | 950mm |
Profondeur | 128mm |
Poids | 4.6kg |
Connectique minimaliste
C'est un peu une habitude chez Sony (qui n'est pas le seul), la connectique se concentre sur l'essentiel, et garde les petits plus pour son seul écosystème. Ainsi, si l'on ne prend pas en compte l'entrée secteur, la HT-A3000 dispose d'une unique connectique HDMI eARC (compatible HDCP 2.2 et CEC), d'une entrée optique Toslink, et d'une prise USB-A pour la lecture de contenus externes.
Cela va sans dire, il est plus que conseillé de connecter votre TV à la prise eARC, puisque c'est par son flux vidéo que s'effectue la configuration de l'appareil, passent les options avancées, et se font les calibrations avec les modules externes. En outre, cette liaison (via CEC) permet de contrôler l'allumage/extinction de la barre de son (et des modules) et le volume.
Sony livre bien évidemment en standard une télécommande dédiée, avec réglages des modules surround et des caissons de basses de la gamme.
Contrairement au modèle HT-A5000, la HT-A3000 n'intègre pas de sortie S-Center (format jack 3,5 mm), interface permettant de d'utiliser et synchroniser les haut-parleurs de la TV comme voie centrale supplémentaire. Cette fonction est disponible, mais uniquement en sans-fil, et pour les appareils Sony récents de la gamme Bravia. Autant dire que nous parlons d'une niche.
Le plus grand manque, selon nous, vient avant tout de l'absence de sortie pour caisson de basses externes. Afin de privilégier à tout prix son écosystème, Sony limite cette possibilité à ses deux caissons sans-fil SA-SW3 et SA-SW5.
Rien à dire pour la prise en charge des formats, puisque la HT-A3000 est compatible avec à peu près tous les formats du marché, y compris le Dolby Atmos et le Dolby DTS:X.
Environnement connectée, réglages avancés
Malgré l'absence de prise Ethernet, la Sony HT-A3000 affiche une dimension connectée, grâce à sa puce Wifi. Celle-ci est Chromecast Built-in, compatible Airplay 2, et Spotify Connect. Bien sûr, l'appareil prend également en charge la spécialité audio Sony, à savoir le format 360 Reality Audio. Pour y accéder, il faut passer par l'un des trois services suivants : Amazon Music, Tidal, et nugs.net, tous possédant des mixages en 360 Reality Audio.
La configuration connectée passe par l'interface TV (via prise HDMI), et ne demande globalement que d'entrer le code wifi du réseau local. Une fois cette opération un peu laborieuse effectuée, plus de problème.
Concernant l'ajout des enceintes surround et du caisson de basses, peu importe le modèle, tout est particulièrement bien pensé. Les modules doivent simplement être placés en mode appairage, via un bouton à l'arrière de chaque appareil, puis détectés dans l'interface, ce qui prend quelques secondes. Le reste de la configuration est un calibrage sonore des différents éléments, à la fois entre eux et par rapport à la configuration de la pièce. Cette opération est assez cruciale pour le rendu, car permet de compenser (en partie) les problèmes acoustiques liés à une pièce classique, et améliore la représentation surround et atmos. Sony désigne ce réglage sous la dénomination Sound Field Optimisation, ou Optimisation du champ sonore en français.
Si cette philosophie mise en place par Sony est assez fermée, l'expérience est particulièrement au point. Les modules sont parfaitement stables entre eux, et la reconnexion est rapide après chaque allumage. De plus, la désactivation d'un des modules (les enceintes arrière par exemple) déclenche immédiatement une adaptation sonore de la barre de son. Le seul bug observé, récurrent bien que pas systématique, vient du passage d'une connexion musicale (Spotify Connect par exemple) à un usage TV. Dans ce dernier cas, la reprise du son peut ne pas se faire, et nécessiter un redémarrage rapide de la barre.
Du côté des petits plus, l'interface propose un ensemble de réglages avancés assez complets, réglages qui rappellent partiellement l'interface (sous Android) des TV Sony. Ceux-ci sont plutôt nombreux, et n'hésitent pas à aller dans les détails, comme la priorité de transmission entre la barre de son et les modules (privilégiant la stabilité ou la qualité sonore), ou encore la possibilité d'ajustement manuel (léger) du son 3D et désactivant Sound Field.
À l'inverse, côté réglages sonores en général (notamment depuis la télécommande), Sony ne propose pas l'expérience la plus complète du genre. On ne retrouve ainsi aucun ajustement profond de type égaliseur graphique, pas d'égaliseur prédéfini, ni même de réglage des aigus. Si la barre de son seule est présente, la télécommande permet de régler les basses sur 3 positions seulement : bas, moyen et élevé. Quant aux modules, il est possible d'ajuster leur volume directement sur la télécommande, sans pouvoir non plus aller plus loin. Seuls deux modes se distinguent : Vocal, et Nuit. Le premier recentre l'écoute afin de faire ressortir davantage les voix. Le mode nuit diminue la dynamique générale, en abaissant les sons forts et les basses, et en rehaussant les sons de très bas niveau. Cela permet de conserver un niveau maximal plus faible.
L'unique changement drastique dans la sonorité, nous le verrons, est la possibilité d'activer ou désactiver la fonction Sound Field, ce qui enclenche ou non les "enceintes virtualisées". L'utilisation du terme Sound Field est un peu plus englobante ici que le simple calibrage sonore, elle désigne le traitement sonore dans son ensemble.
Dernier point d'importance, la HT-A3000 possède bien un afficheur, ici sous la forme d'un petit ensemble multipoints. Il ne faut clairement pas être myope, puisque cet afficheur, bien que très lumineux, est assez petit.
Sonorité générale, et usage musical
L'architecture sonore de la barre de son est assez simple, très loin du déluge de haut-parleurs de certains concurrents. La marque s'appuie sur 5 haut-parleurs maisons X-Balanced, technologie permettant d'optimiser leur forme (ici ovoïde). Deux haut-parleurs sont dédiés aux basses fréquences, avec charge bass-reflex. À ceci s'ajoute un haut-parleur central, destiné à appuyer les dialogues, et deux haut-parleurs disposés de part et d'autre de celui-ci. Le tout est propulsé par cinq amplificateurs, pour une puissance totale annoncée à 250 W, bien que Sony ne précise pas le type de mesure (puissance RMS ou instantanée). La marque désigne ainsi cette barre de son comme 3.1 : stéréo + caisson de basses + voie centrale.
Le cœur du rendu immersif vient du traitement sonore appliqué, que la marque englobe sous la dénomination Sound Field. Ici, faute de vrais haut-parleurs surround et de vrais haut-parleurs verticaux (Atmos), Sony, via un jeu d'algorithme et de traitements numériques, virtualise ces enceintes avec les seuls haut-parleurs à disposition. Le moteur de rendu surround est appelé S-Force Pro Front Surround, et le moteur de rendu vertical est baptisé Vertical Surround Engine. Le fonctionnement combiné est un peu flou, mais regroupé sous l'appellation Immersive Audio Enhancement.
D'un point de vue purement sonore, Sony propose une barre de son globalement équilibrée, sans pic trop marqué et sans outrance sonore. Une légère accentuation des basses (autour de 100 Hz) se fait ressentir, avec des aigus légèrement écourtés. La grande force de la barre de son, ce qui se retrouve dans l'usage filmique, vient de la qualité des médiums, parfaitement neutres et détaillés. Cela permet d'assez bien profiter de la HT-A3000 en usage musical. On remarque déjà que, seule, la barre possède déjà une bonne réserve de puissance.
Dans cet usage, le manque d'assise et d'extension dans le bas du spectre ne se fait pas ressentir ou presque. Il y a plus percutant, plus propre, mais le résultat est plus qu'honorable. La baisse dans les fréquences aiguës se traduit néanmoins par un niveau de détails seulement moyen, et une scène sonore un peu étriquée si l'on n'active pas la fonction Sound Field. Activée, la scène s'élargit et s'aère nettement, bien que la localisation des instruments et autres détails devienne un peu plus floue.
L'apport des deux modules, caisson de basses et enceintes satellites, n'apporte pas un gain gigantesque, puisque se limite à des basses plus amples et prononcées, ainsi qu'un effet arrière pas désagréable du tout, immersif, mais qui n'améliore pas la précision générale.
Les enceintes Surround SA-RS3S possèdent une architecture deux voies, avec un haut-parleur large-bande XBalanced et charge bass-reflex, ainsi qu'un tweeter, pour une puissance totale de 50 W (par enceinte).
Le caisson SA-SW3 est pour sa part un modèle avec haut-parleur de 160 mm chargé en bass-reflex, pour une puissance de 200 W.
Barre de son seule : un rendu cohérent, mais une immersion limitée
En usage plus cinématographique, La barre de son conserve ses qualités, mais également ses limites. On retrouve une réelle nuance dans la reproduction, assez dynamique, avec une superbe représentation des dialogues et une bonne sensation de stéréo.
Sound Field activé, la HT-A3000 est censée reproduire un son surround et même Atmos. Sur ce point, il n'y a malheureusement pas de miracle. L'impression de stéréo étendue est réussie, une sorte d'immersion est bien là, mais plus figée que vraiment spectaculaire. En d'autres termes, nous retrouvons bien un début de surround et d'Atmos, mais dans les sons d'ambiance, pas dans les effets traversants, dans le mouvement des objets sonores.
Cela est déjà pas mal pour une approche virtualisée, puisque la barre sait s'extraire d'une impression de simple point sonore stéréo, mais l'ampleur d'un son 360° est assez loin. On notera, sans surprise, qu'un caisson de basses est fortement conseillé. La tenue dans les basses est plutôt bonne pour un modèle aussi compact, elle peut même suffire pour les petits espaces, mais ne fait pas de miracle pour du grand spectacle. Ce constat est le même avec les jeux-vidéo.
Barre de son + modules : Une expérience étoffée, mais toujours pas parfaite
Avec l'ensemble caisson SA-SW3 et les enceintes satellites SA-RS3S, l'immersion monte d'un bon cran. Le SA-SW3 n'est pas le caisson le plus impressionnant du genre, il n'est pas non plus le plus technique de sa catégorie, mais il remplit à merveille des salons de taille moyenne (voire de taille déjà conséquente). Sa relative compacité et sa bonne tenue dans les graves font qu'il est un complément idéal à cette barre de son.
De leur côté, les SA-RS3S assurent l'essentiel. Nous pourrions reprocher un certain manque d'ampleur et de puissance, en tout cas pour un tel prix. Mais leur compacité est un gros plus, et le calibrage sonore permet de créer une bulle surround réussie. À l'inverse, pas plus de miracle pour la représentation Atmos, les RS3S ne possédant pas de haut-parleur verticaux.
Les trois appareils combinés permettent de créer un ensemble compact, assez puissant, réussi sur un plan surround, sans coloration sonore excessive. Mais le tarif de l'ensemble ramène à une gamme de prix dans laquelle quelques représentants parviennent déjà à reproduire un son Atmos convaincant. Pour cela, il est conseillé de mettre un petit billet supplémentaire pour acquérir les SA-RS5 avec haut-parleurs verticaux. Clairement, le côté à la carte de cette gamme est un avantage, mais les tarifs sont en conséquence, et flirtent avec de très sérieux concurrents.
Prix et concurrence
Lancée à 699 euros seule, la HT-A3000 est dans une sorte de creux au niveau des modèles, les barres de son étant bien plus nombreuses sur les gammes de prix de 500 euros et de 1 000 euros. Néanmoins, la concurrence n'est pas inexistante, bien que quasi-exclusivement représentée par des ensembles barres de son + caisson dédié.
A tarif presque équivalent (650 euros), le système barre de son + caisson Samsung HW-S800B apporte une disposition plus polyvalente et mieux spatialisée, tout en conservant une dimension connectée. Néanmoins, le modèle Sony brille par son équilibre, quand la Samsung possède des creux marqués et quelques exagérations dans les aigus, ce qui la rend moins musicale. Pour un prix un peu plus élevé (800 euros) et un encombrement plus prononcé, la HW-Q800B, toujours de Samsung, est plus convaincante et surtout plus équilibré que la S800B.
La Bose Soundbar 700 est peut-être le modèle plus comparable, car vendu autour de 700 euros actuellement, sans module. Celle-ci reste en-deçà de la Sony en qualité sonore, car Bose tombe malheureusement dans un de ses vieux travers, avec une signature en V, basses et aigus trop en avant. Malgré un son ample et large, les effets surround ne sont pas plus convaincants que sur la HT-A3000.
L'une des plus grosse concurrence vient peut-être de la Sonos Beam gen 2. Certes, celle-ci est 200 euros moins chère (500 euros environ), et plus petite. Mais ses capacités réseau (via Sonos S2) sont très riches, un réel équilibre sonore est là, et la spatialisation est généralement supérieure à celle de la Sony. En revanche, le niveau sonore max reste en-deçà, la connectique est très pauvre, et la compatibilité avec les différents formats (dont le support Atmos via HDMI) bien plus restreinte.
En comptant l'ensemble Barre de son + caisson de basses + enceintes surround, vendu autour de 1 600 euros en pack, la concurrence n'est plus la même. A ce tarif, l'ensemble (avec enceinte surround et Atmos) LG S95QR offre une expérience plus immersive, en particulier sur les objets sonores (Atmos). Néanmoins, la barre de son souffre d'un léger manque d'équilibre, et n'est pas aussi convaincante sur la voie centrale.
Le constat est assez proche avec Samsung Q-Series HW-Q990B, mais celle-ci s'impose comme encore plus sérieuse. Les effet Atmos sont réussis (sans être parfaits), la puissance est bien là, et des égaliseurs sont disponibles. Mis à part une compatibilité chromecast, une philosophie non évolutive, et un encombrement plus important, la Samsung n'a pas grand chose à envier à la Sony. Globalement, de très nombreux modèles, comme la Fidelio B97, sont plus immersifs, tout en étant bien moins chers. Certes Sony conserve un vrai savoir-faire en qualité sonore, mais le rapport immersion/prix est loin d'être le meilleur.
Assez discrète, bien finie et d'une bonne qualité sonore, la barre de son connectée HT-A3000 est globalement réussie, mais ne tient pas l'intégralité de ses très ambitieuses promesses. La reproduction Surround, mais surtout le graal Atmos, nécessitent clairement des modules supplémentaires pour être convaincants. Pour le reste, l'expérience est déjà très convenable.
- Equilibre sonore
- Spotify Connect, Chromecast, Airplay 2
- Approche modulaire
- Qualité de la voie centrale
- Compatibilité Dolby Atmos et DTS:X
- Représentation Surround et Atmos très limitée
- Pas de sortie pour caisson de basses ni de prise S-Center
- Pas d'entrée HDMI (uniquement HDMI eARC)