Ce nouveau modèle répond sensiblement aux mêmes besoins que son prédécesseur — lire des contenus personnels de toutes provenances ainsi que des contenus issus de plateformes en ligne — mais il promet de le faire mieux.
Pour ce faire, il accueille pour commencer la solution Miracast, qui permet principalement de diffuser de l'audio et de la vidéo depuis un téléphone ou une tablette, et d'en répliquer l'écran. Miracast est aux terminaux Android ce qu'AirPlay est aux terminaux Apple, c'est son équivalent standard.
Mais l'apport principal est vraisemblablement sa « toute nouvelle interface utilisateur », et en particulier la nouvelle page d'accueil personnalisable, offrant sous forme de mosaïque un accès direct à ses contenus personnels (un dossier partagé par exemple) et aux services en ligne de son choix. La promesse est intéressante mais on peut toutefois se demander quel soin WD y a apporté quand on voit qu'aucune capture d'écran de cette interface n'est vraiment mise en avant.
On retrouve quoi qu'il en soit le même boîtier, doté d'une sortie HDMI, d'une sortie SPDIF optique, d'un port Ethernet et d'un port USB 2.0. On retrouve également tous les formats populaires de l'ère Full HD. On pourra par exemple lire des copies de sauvegarde de Blu-ray en MKV avec H.264, bande son DTS (ce qui n'est pas si courant) et sous-titres multiples. On retrouvera enfin des applications populaires telles que Facebook, Spotify, Vimeo ou YouTube.
Le nouveau WD TV est disponible dès à présent au prix public de 90 euros.