Par contre, Sony et Warner auraient refusé de passer un tel contrat au regard des conditions d'échange et de partage du service proposé par Google. Pour l'instant, les utilisateurs situés aux Etats-Unis peuvent stocker leur musique sur un serveur distant pour y avoir accès. A terme, le service devrait proposer d'acheter des morceaux mais également de les partager (dans certaines limites) sur Google+, le réseau social de la firme. Des conditions d'utilisation qui auraient donc déplu à Sony ainsi qu'à la Warner...
Pour rappel, Universal Music Group a récemment annoncé l'acquisition de son concurrent britannique, EMI, pour 1,4 milliard d'euros. Une fois que les dernières modalités du rachat seront signées, Universal disposera d'un immense réservoir d'artistes reconnus comme les Beatles mais également de nombreux labels.
Cette maison de disques devrait compter environ 10 % du marché mondial de la musique enregistrée. Elle représentera donc un argument de poids en faveur du service musical de Google qui ouvrira prochainement ses portes.