Crytek annonce son CryEngine V
Alors que Crytek distribuait auparavant aux éditeurs son CryEngine au prix de 9,90 euros (pour le package de base), la société de développement va proposer la prochaine version de son moteur à un prix que définira le client. En d'autres termes, si vous décidez de créer un jeu basé sur le moteur de Crytek, vous pourrez décider de ne lui verser qu'un euro symbolique.
L'idée derrière cette proposition : « non seulement offrir aux développeurs la technologie la plus avancée à ce jour, mais aussi la rendre la plus accessible possible » avance Cevat Yerli, le PDG de l'entreprise dans son communiqué. Un modèle de type « payez ce que vous voulez » qui ne segmente pas l'offre de Crytek : ce dernier assure que les développeurs disposeront d'un « accès à toutes les fonctionnalités du moteur comme à l'ensemble de son code source et ce, pour le montant de leur choix, et sans obligation de payer de royalties ou de frais supplémentaires ».
Ce modèle économique, qui pourrait séduire un grand nombre de développeurs, est sans doute un pari que peut se permettre de tenter Crytek suite à l'investissement consenti par Amazon l'an dernier (voir à ce sujet Amazon lance son moteur de jeu vidéo Lumberyard).
Crytek annonce par ailleurs quelques nouveautés concernant son moteur, parmi lesquelles une nouvelle API qui permet aux développeurs d'intégrer des scripts en C#, une gestion des particules améliorée, prise en charge quasiment intégralement par le GPU, et bien sûr le support de DirectX 12 et des optimisations destinées aux premiers casques de réalité virtuelle.
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Mes domaines de prédilection ? Les ordinateurs portables et les SSD ! Mais de temps à autre, je m'autorise quelques infidélités pour des boîtiers, des alimentations ou des solutions de refroidissement, tests dont je suis particulièrement friand. Je déteste l'expression "Le mieux est l'ennemi du bien" (notamment lorsqu'il s'agit de rendre mon PC silencieux), les livreurs qui arrivent sans bordereau et les coups de pieds de Polo sous le bureau. J'aime réussir mes photos-produit, améliorer les protocoles de test et cocher la case "Public" de notre interface d'édition. Féru de football, je m'essaie également à la photographie à mes heures perdues et ne recule jamais devant une petite partie de poker. Le tout saupoudré de beaucoup, beaucoup de musique.
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