Le capteur de luminosité permet sans surprise d'adapter le rétroéclairage à l'environnement, tandis que le capteur de mouvement (de proximité ?) permet de ne l'allumer qu'à l'approche des mains de l'utilisateur, et de l'éteindre dès qu'il n'est plus utilisé. L'autonomie pourrait ainsi atteindre 10 jours sans recharge, à moins bien sûr que vous ne pexiez (du verbe pexer, premier groupe, naturellement) toute la nuit. Un câble micro USB permet d'ailleurs de le recharger sans interrompre la saisie (ou la partie).
On retrouve par ailleurs les promesses habituelles des claviers du fabricant helvète : une frappe silencieuse au moyen de l'obscur système maison « PerfectStroke », confortable grâce aux bords arrondis des touches « Incurve keys », et une connexion pratique au moyen d'un nano récepteur Unifying.
Le Logitech K800 sera commercialisé en septembre au prix public de 100 euros.