Bolt

Le service de VTC et de vélos électriques disponibles en libre-service Bolt poursuit son déploiement au sein de l’Hexagone. Après s’être déployée à Paris et Lyon, la plateforme pose ses valises à Bordeaux.

Bolt n’est peut-être pas la plateforme de mobilité partagée la plus connue en France, mais force est de constater que l’entreprise estonienne anciennement baptisée Taxify est parvenue à s’implanter aux quatre coins de la planète. Le groupe propose ses services dans presque trente pays européens, sept nations africaines et cinq États asiatiques. Sans oublier le Mexique et l’Équateur pour l’Amérique du Nord et du Sud, respectivement.

À l'assaut de Bordeaux

En France, la société exerce son activité à Paris et à Lyon, où sont déployés ses chauffeurs VTC, mais aussi des vélos électriques disponibles en libre-service du côté de la capitale française. Déterminée à accroître son activité au sein de l’Hexagone, la firme s’étend cette fois-ci dans l’ouest du pays en partant à la conquête du marché bordelais, apprend-on dans un communiqué de presse envoyé à la rédaction.

Bolt application

Pour ce lancement, « les partenaires chauffeurs Bolt vont pouvoir bénéficier de frais de service de lancement de 10 % », indique la marque. À titre de comparaison, les chauffeurs Uber doivent s’acquitter d’une commission de 25 % auprès du géant californien. Ce faisant, Bolt espère attirer de nouveaux collaborateurs, tout en pratiquant une politique tarifaire plus agressive susceptible d’attirer de nouveaux clients.

Des réductions pour les passagers

À ce titre, « ce lancement à Bordeaux s'accompagne de réductions offertes aux passagers allant jusqu’à - 50 % », précise l’entreprise, déterminée à fidéliser au plus vite un maximum d’utilisateurs. Période de crise sanitaire oblige, la catégorie de véhicules « Protect » garantira la présence « d’une protection physique installée entre les sièges arrière et avant de la voiture », précise Bolt.

« Les passagers pourront également se déplacer avec la catégorie Economy, dont les tarifs sont en moyenne 15 % moins élevés que ceux de la catégorie classique, ou encore avec la catégorie Green, qui est uniquement composée de véhicules électriques et hybrides », conclut le document.