Il faut dire que Google aurait développé 70 patchs au total, et ces travaux sur OpenSSL ne garantissent pas toujours une réelle compatibilité avec ses interfaces de programmation. Cela pouvait poser quelques problèmes de stabilité. Pour rectifier le tir, Google et Android devaient eux-mêmes embarquer quelques portions de ces patchs.
La firme de Mountain View a alors décidé de concevoir son propre fork baptisé BoringSSL. Ce dernier vient tout juste d'être adopté par les développeurs du projet Chromium. Cela signifie donc qu'il fera son apparition au sein d'une prochaine mise à jour de Google Chrome.