Il faut peut-être voir la crise sanitaire comme un signe du destin pour cette start-up lyonnaise, mais le fait est que les Français n’ont jamais autant épargné qu’en 2020. Lancée en 2017, Mon Petit Placement est une société lyonnaise qui incite ses utilisateurs à placer leurs économies à l’aide d’une application ludique.
La société affirme compter plus de 8 000 clients et vient de lever 6 millions d’euros pour continuer sur cette lancée.
Des promesses de rendement réalistes et toujours plus d’employés
À vrai dire, vous avez peut-être déjà vu une publicité pour Mon Petit Placement si vous êtes dans la tranche 25-45 ans et qu’il vous arrive de boursicoter. L’entreprise de Fintech propose un contrat d’assurance-vie en ligne, qui offre quatre types de placement, et des promesses de rendement plutôt réalistes. En gros, c’est de l’argent qui travaille à votre place grâce aux efforts d’une équipe de 30 personnes, bientôt 40. La récente levée de fonds d’investisseurs, calculée à 6 millions d’euros, témoigne de l'engouement pour cette entreprise, dont l'objectif à l’horizon 2023 est de dépasser les 50 000 épargnants actifs.
Le compte « Volontaire » vous assure +3 %, « l'Énergique » vous offre 5 % de rendement à l’année. Les comptes « Ambitieux » et « Intrépide » vous laissent présager 8 % et 12 % de rendement, mais ils comportent plus de risques. On retient tout de même qu’il faut investir de base 300 euros et renouveler son investissement, de façon mensuelle par exemple. L'entreprise se rémunère au prorata de ses performances, système innovant dans le milieu des assurances-vie.
Nous saluons d’entrée de jeu le fait que Mon Petit Placement soit une start-up française et encore mieux, lyonnaise. L’application apporte aussi son lot de conseils et d’éducation, ce qui est appréciable par rapport aux applications de trading qui vous jettent souvent dans la gueule du loup sans vous expliquer les risques.
- currency_bitcoin+500 cryptomonnaies
- inputdépôt min : 1 dollar
- price_changeFrais de trading : 0,10%
- gavelRégulation : PSAN France
Source : Usine-Digitale