Ce montant est en hausse de 30% par rapport à l'an dernier. Il a été obtenu de sociétés qui utilisent des logiciels sans pour autant disposer de licences valides ni avoir payé de droits d'enregistrement. Parmi les secteurs d'activité les plus concernés, on retrouve l'ingénierie, l'architecture, le design et le BTP.
La BSA précise que si la somme collectée est en nette progression, le taux de piratage est, pour sa part, en baisse. Pour l'organisme, cela signifie donc que c'est le coût global des logiciels ainsi que leur utilisation qui a augmenté.
Pour l'Europe, ce montant grimpe à 10,7 millions d'euros. Les entreprises françaises représentent donc 12% de l'ensemble de cette somme.