Pour rappel, les cas de Google mais aussi d'Apple, d'eBay ou d'Amazon sont souvent évoqués, notamment en Europe, comme des exemples de firmes installées au Luxembourg ou en Irlande et qui profitent de la fiscalité avantageuse de ces Etats. En conséquence, Google s'est attiré la bienveillance d'autres industriels américains qui militent désormais pour une baisse de la fiscalité sur leur territoire.
A en croire des informations de Bloomberg, les multinationales américaines ont réalisé 1 billion de dollars de bénéfices en 2009 sur lesquels aucune taxe américaine n'a été payée. Par contre, ni la SEC ni Google n'ont commenté leurs échanges, suite à ces demandes de précisions.