La raison de la condamnation était liée aux Google Car, qui, selon les autorités de protection des données, n'étaient pas assez identifiables. « Les voitures appartenant à l'entreprise parcouraient les rues d'Italie sans être tout à fait reconnaissables en tant que telles, et ne permettaient donc pas aux personnes présentes dans les lieux de choisir si elles voulaient être photographiées ou non » explique un communiqué.
Google ajoute de son côté que, depuis sa condamnation, l'entreprise a joué le jeu et a « respecté les exigences de l'autorité ». L'affaire semble donc définitivement classée.
Pour rappel, Google a été condamné dans plusieurs pays d'Europe, dont en France (100 000 euros d'amende), en Allemagne (150 000 euros) ou encore en Belgique (150 000 euros). L'amende italienne s'avère donc être un cran au-dessus même si, à l'échelle de l'entreprise, cela représente une goutte d'eau dans l'océan.