Selon l'Université, il s'agirait bien d'un hack puisque les personnes qui se sont introduites n'avaient aucune autorisation pour pénétrer dans les systèmes informatiques entre le 24 et le 29 septembre. C'est lors d'une opération de contrôle de sécurité de routine que les responsables des installations ont estimé qu'un ordinateur basé hors du territoire américain aurait servi à cette attaque.
Ce n'est pourtant pas la première fois que les institutions universitaires américaines sont touchées par de telles failles. Le site Computerworld rapporte même que 128 failles de ce type auraient été enregistrées dans les universités américaines depuis 2009... 1,7 millions d'enregistrements auraient ainsi été compromises.
Un chiffre effarant qui montre à quel point certains réseaux sont encore insuffisamment sécurisés. De même, le site explique que bien souvent, des travaux de sécurisation sont effectués... après la découverte ou l'utilisation d'une faille.