L'agence de presse Reuters affirme que des centaines d'employés des services du gouvernement et d'industries sont réquisitionnés pour l'événement, pendant trois ou quatre jours. Concrètement, cette simulation d'attaque a pour but de préparer toute personne à cette éventualité mais aussi de tester la sécurité des installations informatiques visées.
L'attaque va également permettre au président Barack Obama de mettre à l'épreuve sa nouvelle architecture de décision : le Cyber Incident Response Plan. De même, le test grandeur nature voit participer pas moins de 11 états américains, 12 pays dont la France, l'Australie, la Grande-Bretagne, le Canada, l'Allemagne, le Japon, la Suisse ou encore l'Italie... et 60 compagnies.
Les responsables n'ont dévoilé aucune information concernant le mode opératoire de l'attaque ni à propos du scénario. Six ministères sont sur le coup et doivent donc rester sur le qui-vive pour parer toute fausse attaque...