HTC Jetstream : première tablette Honeycomb du fabricant... aux USA seulement
La « HTC Jetstream » (nom de code « HTC Puccini ») sera, au moins dans un premier temps, commercialisée exclusivement par l'opérateur américain AT&T avec une connectivité 4G LTE. Elle n'en demeure pas moins la première tablette Honeycomb du fabricant, qu'on attendait sur ce marché plus tôt, mais qui avait préféré jouer la différence avec la Flyer. Il est donc fort probable que HTC en lance à terme une variante Wi-Fi en Europe.
L'opérateur a malheureusement préféré mettre l'accent sur la connectivité cellulaire, au détriment de la fiche technique fortement amputée. On sait seulement de la « Jetstream » qu'elle s'articule autour d'un écran WXGA de 10,1 pouces, qu'elle abrite une puce Qualcomm Snapdragon double-cœur à 1,5 GHz, qu'elle arbore un capteur frontal de 1,3 million de pixels, un capteur dorsal de 8 millions de pixels filmant en Full HD 1080p, qu'elle dispose d'un emplacement microSDHC et qu'elle fonctionne sous Android 3.1.
Les apports de HTC Sense UX restent discrets sur le plan esthétique. Tout comme sur Windows Phone, HTC s'en tient ici principalement à l'ajout d'applications maison, dont « Scribe », qui permet d'utiliser le stylet capacitif (ici optionnel) introduit sur la Flyer, et « HTC Watch », le service de vidéo à la demande.
Sans équivalent chez l'opérateur national, la « HTC Jetstream » y sera commercialisée la coquette somme de 699 dollars, associée à un abonnement de deux ans ! À titre de comparaison, l'iPad 2 3G est vendu 629 dollars par le même opérateur. La 4G est donc facturée à prix d'or.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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