Vaio Z Canvas : la Surface Pro nippone débarque en Occident

Romain Heuillard
Publié le 07 octobre 2015 à 10h59
La veille de la présentation des appareils Windows 10 de Microsoft, Vaio a mis en vente aux États-Unis sa Surface à lui, le Vaio Z Canvas.

Comme convenu, le nouveau Vaio démarre son expansion mondiale. La branche PC de Sony, revendue il y a deux ans à un fonds d'investissement japonais, a dans un premier temps repris du service exclusivement au Japon, mais elle revient finalement en occident, pour le moment aux États-Unis.

Vaio a même tenu une conférence de lancement dans un Microsoft Store de Los Angeles, avant de participer au salon Adobe Max 2015, rendez-vous annuel des créatifs numériques.

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Il faut dire que le Vaio Z Canvas est fort similaire aux Surface Pro. La tablette arbore un écran de 12,3 pouces au format 3:2, exactement comme la Surface Pro 4, d'une définition de 2560 x 1704 pixels. Cet écran prend en charge un stylet électromagnétique sensible à 1024 niveaux de pression, de nouveau comme la tablette professionnelle de Microsoft. L'appareil se contente d'un processeur Intel Core i7 de 4e et non de 6e génération, mais il est ici aussi associé à un maximum de 16 Go de mémoire vive et à 1 To de SSD (interfacé en PCI-Express x4).

Le Vaio Z Canvas est enfin livré avec Windows 10 Pro en édition Signature, c'est-à-dire sans le moindre supplément préchargé. Il est vendu dès à présent pour... 2 200, 2 600 ou 3 100 dollars HT. Pour ces sommes très élevées, le clavier amovible et le stylet sont heureusement de série.

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Romain Heuillard
Par Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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