Disney+ Star

Afin de compenser l'absence de Hulu à l'international et toucher autre chose que les enfants, Disney+ va bientôt s'étoffer avec une nouvelle section baptisée Star.

Celle-ci proposera du contenu plus adulte en provenance notamment de FX et de 20th Century Fox. Mais il y a un revers à la médaille : l'abonnement grimpera de 6,99 euros à 8,99 euros par mois.

Disney+ : un prix en hausse pour davantage de contenu

Le 23 février prochain, les utilisateurs de Disney+ vont voir arriver du changement. Lors de sa journée des investisseurs, en plus de l'annonce de nombreux nouveaux contenus Star Wars et Marvel, Disney a en effet annoncé deux éléments majeurs à venir pour sa plateforme de streaming aux plus de 86 millions d'abonnés.

Tout d'abord, l'abonnement, aujourd'hui de 6,99 euros par mois, va grimper à 8,99 euros dans différentes zones, y compris la France. Notez cependant que l'ancien prix devrait normalement être maintenu jusqu'à août prochain si vous êtes déjà abonné avant cette date. La question des abonnements annuels reste elle entière.

Pour justifier cette hausse, qui ne sera absolument pas facultative mais bien obligatoire, Disney va ajouter une 6e catégorie de contenus aux côté de celles déjà présentes que sont Disney, Pixar, Marvel, Star Wars et National Geographic : Star.

Du contenu plus adulte pour élargir son public

Principalement à destination des adultes (et donc protégée par un mot de passe), Star a pour ambition de combler l'absence de Hulu à l'international. Disney+ y proposera du contenu en provenance de studios comme ABC, Fox, Freeform, Searchlight ou encore 20th Century. Des films comme Logan, Kingsman et Alita: Battle Angel, ou des séries comme Lost, Atlanta et Homeland peuvent ainsi être aperçus sur les quelques visuels diffusés.

En revanche, le contenu exact qui sera proposé en France reste parfaitement flou, puisqu'entre les droits déjà octroyés à d'autres services, ou la chronologie des médias, difficile aujourd'hui de prédire ce qui sera disponible ou non au lancement par chez nous.

Source : The Verge