La technologie choisie par Yahoo avertit l'utilisateur de la présence d'un spyware, adware ou autre programme malicieux, dans les sites affichés comme résultats. Un service déjà mis en place, selon Reuters, par Google en 2006. SearchScan sera disponible pour Yahoo! Search aux Etats-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en France, en Italie, en Allemagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Espagne. Une initiative qui pourrait aider les internautes à se prémunir des « sites à risques », bien que les analystes de l'institut d'études IDC estiment à 67% le taux d'ordinateurs infectés par diverses formes de logiciels espions.
Yahoo Search veut en finir avec le spyware
Par Matthieu Dailly
Publié le 09 mai 2008 à 15h45
Alors que le premier pourriel fête tout juste ses trente ans, le portail Internet d'origine américaine Yahoo a annoncé, mardi 6 mai 2008, s'être associé sur le long terme avec un spécialiste des solutions de sécurité : McAfee. Cet accord pluriannuel vise à introduire dans Yahoo! Search : McAfee's SiteAdvisor Technology, un scanner de résultats pour moteur de recherche.
La technologie choisie par Yahoo avertit l'utilisateur de la présence d'un spyware, adware ou autre programme malicieux, dans les sites affichés comme résultats. Un service déjà mis en place, selon Reuters, par Google en 2006. SearchScan sera disponible pour Yahoo! Search aux Etats-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en France, en Italie, en Allemagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Espagne. Une initiative qui pourrait aider les internautes à se prémunir des « sites à risques », bien que les analystes de l'institut d'études IDC estiment à 67% le taux d'ordinateurs infectés par diverses formes de logiciels espions.
La technologie choisie par Yahoo avertit l'utilisateur de la présence d'un spyware, adware ou autre programme malicieux, dans les sites affichés comme résultats. Un service déjà mis en place, selon Reuters, par Google en 2006. SearchScan sera disponible pour Yahoo! Search aux Etats-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en France, en Italie, en Allemagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Espagne. Une initiative qui pourrait aider les internautes à se prémunir des « sites à risques », bien que les analystes de l'institut d'études IDC estiment à 67% le taux d'ordinateurs infectés par diverses formes de logiciels espions.
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