La sortie de son processeur Nano permet à VIA de donner un coup de jeune aux spécifications Mini-ITX tout en réhaussant la barre du côté des caractéristiques minimales. Ainsi, VIA annonce que les cartes Mini-ITX 2.0 devront accueillir un processeur x86 et au minimum 2 Go de mémoire DDR2 en plus d'un circuit graphique intégré de classe DirectX 9.0 avec connecteur VGA. Parallèlement, VIA exige la présence de deux ports Serial-ATA II, un port IDE, un contrôleur réseau Gigabit, quatre ports USB 2.0 ainsi qu'un contrôleur audio sur six canaux avec trois jacks. La principale nouveauté reste l'obligation d'avoir un slot PCI-Express 16x alors que VIA suggère l'utilisation des systèmes d'exploitation Windows Vista, Windows XP et les principales distributions Linux.
Avec Mini-ITX 2.0, VIA impose le PCI-Express
La sortie de son processeur Nano permet à VIA de donner un coup de jeune aux spécifications Mini-ITX tout en réhaussant la barre du côté des caractéristiques minimales. Ainsi, VIA annonce que les cartes Mini-ITX 2.0 devront accueillir un processeur x86 et au minimum 2 Go de mémoire DDR2 en plus d'un circuit graphique intégré de classe DirectX 9.0 avec connecteur VGA. Parallèlement, VIA exige la présence de deux ports Serial-ATA II, un port IDE, un contrôleur réseau Gigabit, quatre ports USB 2.0 ainsi qu'un contrôleur audio sur six canaux avec trois jacks. La principale nouveauté reste l'obligation d'avoir un slot PCI-Express 16x alors que VIA suggère l'utilisation des systèmes d'exploitation Windows Vista, Windows XP et les principales distributions Linux.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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