« Pour l'adaptation des Gadgets à Linux, nous ne voulions pas seulement arriver à l'offre finale, nous voulions également permettre à chacun de bricoler le code. Pour ce projet, favoriser la transparence et motiver la communauté des développeurs est tout aussi important pour nous que de servir nos utilisateurs », explique dans un billet Jim Zhuang, ingénieur logiciel chez Google.
Jusqu'alors, ces mini-applications ne pouvaient s'afficher que sur le Web (iGoogle), sous Windows et sous Mac OS. Mais avec ce logiciel publié en licence open source Apache et disponible en version 0.9.3, elles sont désormais compatibles avec une troisième plateforme et avec les systèmes d'interfaces graphiques QT et GTK+, qui offrent une barre latérale similaire au Google Desktop pour Windows.
Quant aux développeurs, ils n'auront pas à se plonger dans une nouvelle interface de programmation (API) et pourront, dès à présent, développer un gadget unique pour les trois environnements.