- 81% des internautes ont arrêté d'ouvrir les pièces-jointes d'email, sauf lorsqu'ils sont certains que ces courriers sont sans danger.
- 48% des internautes ont arrêté de visiter certains sites Web, jugés peu recommandables et suspecté de propager des spywares.
- 25% des internautes ont arrêté d'exploiter des logiciels d'échanges de fichiers de type P2P.
- 18% des internautes ont décidé d'exploiter un nouveau navigateur Web, afin de réduire les risques liés à la propagation de spywares.
Une étude intéressante qui peut être consultée dans son intégralité ici et qui démontre bien les problèmes et les enjeux que représente cette pollution numérique. Une pollution qui ne pourra se réduire qu'avec une lutte acharnée et surtout une prise de conscience et une vigilance nouvelle des internautes.
